JCPMF 5-10 sans le coach…

Cette semaine du 1er avril 2013, il n’y avait pas de séance collective « officielle » JCPMF prévue.

Toutefois, la majorité du groupe a décidé de se donner RDV ce mercredi 03 avril pour courir ensemble. Pour une fois, je décide de laisser la voiture dans l’allée et de m’y rendre en courant/marchant.

Il y a +/- 1km de chez moi à l’école St Martin, lieu du rassemblement.

La séance en groupe fut assez sympa, et au final, j’ai couru un peu plus de 8.5km améliorant au passage mon record du km à 4’53 » (en descente).
J’avais prévu de courir le jogging des éoliennes à Warnant ce samedi, mais un empêchement chamboule mes plans. Je n’avais prévu que 2 sorties cette semaine en prévision de cette course, et finalement, il y en aura 3.

Vendredi 5, je me décide pour courir sur le temps de midi, et je parcours à nouveau un peu plus de 8km en partant de chez moi sur la promenade des vallées.

Sensations un peu moins bonnes, avec des jambes lourdes et une petite douleur à l’arrière du mollet droit, je ne force donc pas trop.

Le bois de mon enfance…

Dimanche 7, le soleil brille ! Et malgré un temps un peu frais le matin, le printemps semble enfin être de retour !

J’ai envie de changer un peu les paysages et me décide pour courir à Tihange.

Pourquoi pas me me tester sur la côte du Rouge Lion?  Seule réelle difficulté du Huy Night Run du mois de juin ?

Je pars ainsi du bas de Tihange, cours un petit km à plat pour m’échauffer un peu et c’est parti, je commence l’ascension de cette côte qui présente plusieurs paliers.

Le début est assez raide puis un long faux plat puis de nouveau un peu plus raide jusqu’à l’entrée du temple tibétain.

Arrivé au dessus, je suis assez content de moi, pas trop souffert et je sens que je pourrai forcer un peu plus lors de la course.

Je décide ensuite de m’aventurer sur le parcours vita du bois de Tihange, mais dans le sens inverse.

Là, ça monte très fort sur un petit sentier, je suis obligé de marcher un peu et détendre mes mollets qui me font un peu mal.

La suite, c’est du pur bonheur, courir dans les bois tout seul, me procure vraiment un sentiment de bien-être absolu. Ce sont également des souvenirs qui me submergent en repassant sur ce parcours. Je courais sur ce sentier pendant mes périodes de blocus, j’y faisais des barbecues… Lors des fins d’examens. Ou encore plus jeune, j’y allais me promener avec mes grands parents le mercredi après-midi.

Bref une super sortie que je recommencerai sûrement souvent !